Présentation

Claire-Weber2.jpgDe formation scientifique et technique, j’ai longtemps cherché  ma place dans le monde impitoyable des industries (chimiques, biochimiques, agro-alimentaires et pharmaceutiques). Rien n’y faisait, une fois atteintes les limites de mon travail, un ennui insupportable se faisait sentir.


A l’aube de mes 39 ans, j’ai finalement décidé de me prendre en main et de revoir ma copie.


Après un bilan des compétences très ludique – ma vocation semblait d’être détective privé ! – j’ai finalement opté pour la réflexologie.


Ne me demandez pas pourquoi la réflexologie plutôt que le Shiatsu, la naturopathie ou tout autre technique de soin naturelle. Une fois que l’évidence s’impose à vous, les raisons de nos choix s’évaporent.

 

Néanmoins, cette orientation a semble-t-il été influencée par l’intérêt que je portais alors à la gymnastique chinoise (Tai Chi Chuan et Chi Gong) et la philosophie Taoïste.
Comme la formation que j’avais choisi d’entreprendre contenait de la médecine chinoise, je n’ai plus hésité. Une bonne année d’enseignement plus tard et l’écriture d’un mémoire m’a enfin permis de devenir réflexologue…ou réflexothérapeute…ou praticienne en réflexologie.


Qu’importe la dénomination utilisée, de toutes les manières cette discipline ne figure sur aucune liste de l’URSSAF ou de la chambre de commerce.


Au cours de mes premiers mois de pratique, j’ai vécu des situations très diverses : assistance en fin de vie, travail en milieu hospitalier, intervention sur des manifestations sportives, entre autres.


Ce qui était très surprenant, c’est que lorsque je butais sur une stratégie d’autorégulation, la plupart des personnes qui faisaient appel à moi, dans le mois suivant, présentaient la même problématique. C’était comme si « la vie » me mettait à disposition des exercices pratiques pour accéder à la compréhension et à la connaissance.


Parfois, les bienfaits de la réflexologie paraissaient relever du miracle et j’allais de surprises en étonnements. Mais la technique ne faisait pas tout et j’ai vite constaté que la relation de confiance que je réussissais à instaurer avec les gens, les paroles qui s’échappaient de ma bouche, avaient un impact sur leur combativité.


Je pense que « la solution » est en chacun de nous.  Nul praticien, quelle que soit sa notoriété, ne peut véritablement aider une personne lorsque celle-ci se positionne en « victime » ou en «coupable». L’amélioration de l’état de santé d’une personne relève de sa volonté propre.


L’écoute, la douce présence par le toucher, l’empathie sont des conditions ciné qua none à la relation de confiance qui s’établie entre le praticien et son client.


J’aime à dire que mon travail s’apparente davantage à celui du « coach » que du thérapeute. Une chose est sûre, j’adore ce que je fais et je considère chaque personne comme un cadeau du Ciel.


Au fil de mes rencontres, j’ai choisi de travailler avec des partenaires qui se distinguent par leur humanité, leur intégrité, leur générosité et la qualité de leurs prestations. Le réseau que nous avons tissé ensemble est basé sur l’entraide et le partage.

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